🌝 Mon Fils Me Dit Que Je Suis Méchante

Jvous l'jure. Demandez à mon entourage proche: j'suis vraiment gentille pis j'prends vraiment beaucoup soin des gens que j'aime. Même de ceux qui m'aime pas en retour ( Shoutout à mon ex! lol ). Ça fait depuis le secondaire 3 ou 4 qu'on me dit souvent ( plus que souvent haha ) que je suis méchante pis que je mâche pas mes mots pis que j Conclusion Trouver des solutions à ses problèmes, ou au moins lui permettre de les exprimer différemment, sera toujours plus efficace que de trouver des punitions à son mauvais comportement. Changer de regard, prendre du recul : voilà la première étape pour agir de façon plus positive. Déposer / Voir les commentaires. Maisje ne suis juste humaine, et pour légitimer mon existence et lui donner un sens, j'ai besoin d'autre chose que de me cacher derrière les volontés des autres. Alors, à tous ceux qui me diront que je suis méchante, je leur répondrai, peut-être, et alors? Jai très peur de cette audiance pourtant je n'ai absolument rien à me reprocher dans la façon d'élever seule mes enfants depuis 4 ans et ceux ci n'ont jamais fait l'objet d'aucun signalement quelconque !! Aidez moi ! Merci. A voir également: Mon ex veut m'enlever mes enfants !! Quel motif pour enlever la garde à une mère - Forum - Divorce. Lecoach Stan Carrey – expert en relations toxiques – nous partage 5 astuces pour faire face à la méchanceté des gens. Avec le temps, tu seras immunisé et tu apprendras à ne plus réagir avec ton ego, ainsi tu développeras une force de Sil te dit de partir parce que tu es méchante, qu'il ne t'aime plus, prends le au mot : "non, moi je suis chez moi, je resterai donc, mais puisque tu ne m'aimes pas, tu n'as qu'à t'en aller toi-même : au revoir" et tu lui tournes le dos. Il y a fort à parier que deux minutes après il sera passé à autre chose. J'aime. 15/11/2006 à 15h36 . Merci merci pour vos messages je vais Vouspensez que votre fils a besoin de le savoir !!! Chère Maman, Cher Papa, 1. N’oubliez jamais : je suis l’enfant de vous deux. Maintenant, je n’ai plus qu’un parent avec lequel je vis et qui me consacre le plus de temps. Mais j’ai besoin aussi bien de l’un que de l’autre. 2. Jesuis une "méchante" maman qui as la garde exclusive, pis qui reçoit une pension en plus. Je voulais écrire ce spotted parce que j'ai l'impression qu'on oublie de penser à ce que ça implique Ilest également difficile de relever de nouveaux défis et de quitter la zone de confort. Mères contrôlantes. Ces types de mères toxiques contrôlantes montrent un besoin de contrôler à la fois leur propre vie et celle de leurs enfants. Elles contrôlent leurs amitiés, leurs habitudes, leur façon de s'habiller, de se développer et cu6j. bonjour, je suis mariée depuis 10 ans. Si pendant les premières années j'acceptais que ma belle mère vienne parfois passer un week end chez nous, son sans gêne m'a a un moment donné bloquée et aujourd'hui je refuse quelle dorme chez moi. Du coup je culpabilise un maximum et je me vois comme quelqu'un de méchant pourriez vous me dire ce que vous en pensez merci Mais voyons ! Bien sûr !!!!!!!!! Les pauvres chochottes !!! Qu'elles sont vilaines ces belles-filles à ne plus vouloir que "belle-maman" dorme chez leur petit garçonnet !!! Moi aussi j'avais une Madame Sans-Gêne ! Sauf que moi, je n'étais pas mariée, et j'étais CHEZ LUI ! Au début, elle m'adorait, mais après, elle m'a détestée..... et moi aussi d'ailleurs ! Je n'ai rien dit, mais j'ai agi elle venait, je partais et laissais le frigo vide ! Après tout, je payais la bouffe, mais quand j'y étais, pas quand je n'y étais pas !!! En plus, vu qu'elle me reprochait que le frigo était trop plein mais Madame ne reprend pas 2 fois des bons petits plats que je faisAIS, mais 3 ! Alors il faut assurer quand même !!!, eh bien après il était vide ! J'imagine le choc que ça a dû lui faire ! Eh non, Sorcière, le frigo n'est pas neuf, il est juste......... VIDé !!! Maintenant, après 2 ruptures, on ne vit plus ensemble, elle ne sait pas encore qu'on ressort ensemble. Ni même mes parents officiellement, sauf si ma mère est venue voir s'il y avait ma voiture, ce qui ne m'étonnerait pas ! C'est le contraire qui me surprendrait !!! En fait, je pense que ça va bientôt foirer, donc je pense que ça ne servirait pas à grand-chose qu'elle l'apprenne, sauf à lui faire un nouveau choc, "pauvre petite mamounette, ce n'est pas le moment" !!!! Cette sorcière est venue garder ses petits-enfants qui ne sont pas les miens, donc je suis chez ma mère en attendant qu'elle s'en aille. SAUF QUE, le sort s'acharne, pendant qu'elle était chez son fils, son mari, de 13 ans de plus qu'elle, a eu un problème de santé, faire pipi et caca sans se retenir, ils n'ont pas pu retourner chez comme c'était prévu samedi dernier, et sont ici sine die, parce que le médecin leur a interdit de retourner dans leur bled DE MERDE, où il y a juste une mairie et RIEN D'AUTRE, même pas un "truc" qui ferait bar, dépôt de pain, Poste, épicerie, banque", RIEN DU TOUT ! Et même pas un médecin, encore moins une pharmacie. Donc, on ne se voit pas, M. Amputé des Couilles n'ose même pas me parler au téléphone pour éviter que sa mère ne l'emmerde en lui posant des questions, donc on se parle et on se jette par mail, ce qui commence sérieusement à me GAVER !!!!!!!!!!!!!!! Et elle, elle a élu domicile chez lui, à durée indéterminée ! Heureusement que je n'y suis pas, pour ça c'est vraiment un bon plan !!! N'empêche, cette sale bonne femme, je ne supporterai plus de dormir une seule nuit sous le même toit qu'elle ! J'espère qu'elle va se bouger son gros Q pour se trouver une maison ici - pas trop près de chez lui j'espère quand même ! - et donc ne plus squatter ! Parce qu'en sans-gêne, elle était bien ! Elle adorait mes fringues, mes chaussures, eh bien sans me le demander, elle les mettait ! Son truc "Je me suis permise de ...." Eh bien moi, ça ne me va pas du tout comme formule !!!! Parce que je ne suis pas sa fille, loin de là ! Enfin, "Petit Garçonnet" de 42 ans dans 6 jours accepte cette sorcière qui préférait sortir avec son mec quand ses enfants étaient petits que de s'en occuper, et donner à bouffer à son fainéant de mari avec la pension alimentaire destinée à ses enfants qui, en attendant, crevaient de faim et de froid !!! Comme je lui ai dit samedi soir, elle ne s'est pas occupée de vous quand vous étiez petits, et maintenant elle veut faire la mère et la grand-mère parfaites !!! "Petit Garçonnet" dit que sa mère se fait du souci pour son mari, dit qu'elle fait l'infirmière eh bien au moins, tant qu'elle raconte sa maladie, elle ne dit du mal de personne !!!, la pauvre chérie ! Eh bien moi, je ne la plains pas, je suis méchante, je le sais et je l'assume ! Comme je lui ai dit "Eh bien, ça commence bien 2007 pour ta mère ! Elle a perdu sa soeur juste le jour où son fils me larguait, sans doute bien poussé par elle, le 11 mars, son mari tombe malade et on ne connaît pas encore la gravité, mais une copine m'a dit que ces symptômes, ça devait être grave ! Je n'ai pas osé ajouter "Comme quoi, la méchanceté, un jour ou l'autre on la paye !!!" Finalement, elle n'a pas tardé à recevoir la facture à payer, elle ! bof... pas très grave ;- ! Bonjour, A mon avis, il fait ce genre de remarques quand il est mécontent, et il continue car il voit bien que ça t'affecte... c'est un peu de la provoc' ! Mon fils aîné, à 4 ans, avait décidé d'aller vivre chez les parents de son meilleur copain, nos voisins, chez qui bien sûr tout était mieux... Il avait même commencé à préparer son sac ! Mon 2ème fils 4 ans 1/2, parfois me dit quand il doit faire qque chose qu'il n'a pas envie de faire bain... "T'es méchante !" J'essaie de prendre ça avec humour, je lui dis, "ben qu'est-ce que tu veux t'as pas eu de chance, t'es tombé sur une méchante maman... Maintenant faut essayer de me supporter..." Ca dédramatise dare dare ! Pourquoi ne pas prendre ce qu'il dit un peu au 2d degré ? type "ben si tu veux y a des mamans qui ont pas de petit garçon, on peut commencer des démarches pour que tu ailles chez elles..." A mon avis, ça ferait retomber la tension... ;- Et si, à force de trop aimer nos enfants, on les préparait mal à devenir adultes ? Dans "La Violence de l’amour", Caroline Thompson réfute nombre d’idées reçues. Entretien. "Il ne s’agit pas de moins aimer nos enfants mais de supporter qu’eux puissent ne pas nous aimer et parfois même nous détester." C’est le message percutant du livre de Caroline Thompson. Dans "La Violence de l’amour" Hachette Littératures, la psychanalyste et thérapeute familiale explique pourquoi le sentiment a pris le pas sur l’éducation et la transmission. Et pourquoi, à force de nous mettre à la place de nos enfants, nous leur volons finalement leur enfance. Une remise à niveau salutaire ! ELLE. Comment l’amour peut-il devenir dangereux ? CAROLINE THOMPSON. Nous vivons aujourd’hui une sorte d’idéalisation de l’amour. Il tend à prendre toute la place dans la relation à l’enfant, au détriment d’autres éléments essentiels, comme l’autorité et la transmission. ELLE. Mais de là à devenir dangereux ! L’amour est un sentiment beaucoup plus complexe qu’on veut bien le croire. Les gens que l’on aime le plus, on leur en veut aussi, on se met en colère contre eux. C’est " l’ambivalence des sentiments ". Les enfants l’expriment très facilement quand on leur interdit quelque chose ou qu’on les punit et qu’ils disent " Je te déteste " et " Je t’aime " une heure plus tard. Les parents ont beaucoup de mal à accepter cette ambivalence vis-à-vis de leur enfant ; quand elle vient de lui, elle leur est même insupportable. Alors ils font tout pour se faire aimer. Et quand l’enfant voit la réaction que provoque son agressivité, pourtant tout à fait normale, chez son père et sa mère, il ne peut plus l’exprimer et elle resurgira sous une autre forme plus tard. ELLE. Pourquoi les parents ont-ils davantage besoin de l’amour de leur enfant qu’autrefois ? A l’heure où nous vivons une suite de décompositions et de recompositions familiales, l’enfant est devenu notre partenaire privilégié, le seul élément pérenne qui dessine une continuité à nos vies. Plus la relation homme-femme se fragilise, plus le lien parent-enfant devient solide et passionnel. Il y a vingt ans, on pouvait s’investir dans une idéologie politique ou religieuse. Aujourd’hui, la famille et l’enfant en particulier sont devenus le lieu de tous nos investissements. Dans nos sociétés repliées sur ellesmêmes et très individualistes, l’enfant est devenu le baromètre de la réussite, un des symboles du statut social. Les parents investissent dans leur enfant comme si c’était un élément permanent de leur réussite personnelle, alors que la relation avec l’enfant est une relation de transition. ELLE. A tout âge ? On n’est pas parent de la même façon avec un enfant de 6 mois ou de 5 ans, de 15 ou de 25 ans. Mais, contrairement à ce qui se passe dans la vie amoureuse, c’est la séparation qui marque une relation parent-enfant réussie. Et nous avons beaucoup de mal à l’accepter. C’est même un élément qui fragilise énormément les parents. Ainsi, une des raisons pour lesquelles les crises d’adolescence ont tellement de force aujourd’hui, c’est que les adolescents ont besoin de mettre des distances. Et la séparation se fait très souvent dans le rejet. Heureusement, il y a un retour ensuite ! Un enfant n’est bien que s’il sent qu’il peut détester parce qu’il est aimé. On doit lui donner assez de sécurité pour qu’il ose se mettre en colère et en rébellion sans avoir peur de détruire la relation. Accepter que notre enfant nous déteste est un énorme cadeau à lui faire. ELLE. Vous écrivez aussi que, aujourd’hui, c’est le sentiment qui organise les relations dans la famille, alors qu’avant c’était l’autorité... Les deux seraient donc antinomiques ? Pas forcément, mais il y a un vrai changement de registre. Aujourd’hui, en étant autoritaire, on a peur que l’enfant pense qu’il est mal-aimé et, surtout, on s’imagine qu’il va moins nous aimer. C’est vrai qu’un enfant que l’on gronde ou un adolescent que l’on prive de sortie ne va pas nous remercier. Il le fera peut-être dans dix ans, mais sur le moment il va taper du pied, faire la tête, pleurer... Or, comme on veut une satisfaction et une reconnaissance immédiates, on se place dans une situation de démagogie parentale permanente. ELLE. Un enfant heureux ou qui réussit à l’école, dites-vous, n’est pas le signe qu’on est un bon parent, pas plus que l’inverse. Et pourtant, nous le vivons comme tel. Pourquoi ? Aujourd’hui, on dit " être un bon ou un mauvais parent " comme on dit " avoir un bon job " ou " un bon niveau de vie " ! Etre parent est devenu une manière de se définir. Quand un enfant a des problèmes ou ne réussit pas bien scolairement, on en ressent une blessure narcissique. C’est grave parce que ce n’est plus l’enfant qui compte, mais soi-même. Ainsi, dans le discours, l’enfant tient une place gigantesque, mais ce n’est pas forcément le cas dans la réalité. ELLE. Rassurez-nous un enfant peut donc échouer sans que l’on soit un mauvais parent ? On n’est pas responsable de tout car on n’est pas son enfant. Et puis, c’est quoi, un échec ? Le développement d’un enfant est un long chemin. Une fois encore, on se situe dans l’immédiateté. Or, les problèmes font partie du développement. Mais si, à chaque fois, c’est la panique et la culpabilité, il sera de plus en plus difficile pour l’enfant d’exprimer ses difficultés. Or, c’est à ce moment-là qu’il a le plus besoin de ses parents. ELLE. Pourquoi le refus et la frustration, davantage exercés et subis autrefois, sont-ils fondateurs pour un enfant ? Je ne suis pas passéiste et cela n’aurait pas de sens de vouloir appliquer aujourd’hui l’éducation d’il y a quarante ans. Mais, même si c’est plus difficile que de dire " oui ", dire " non " à un enfant, c’est lui apprendre que les interdits existent et qu’il faut accepter cette réalité. Le particulier " Tu ne regarderas pas la télé ce soir " lui fait comprendre le général " Il y a un certain nombre de choses que tu ne décides pas ". Un enfant qui peut tout avoir n’a plus envie de rien. Comme un adulte. On a tous remarqué qu’on fantasme davantage sur la nourriture quand on est au régime ! C’est dans la nature humaine la frustration induit le désir. Mais il faut savoir que le renoncement et la frustration sont des expériences d’éducation qui ne sont pas fondées sur l’amour. ELLE. Peut-on éduquer sans contraindre ? Non. Je pense que la contrainte fait entièrement partie de l’éducation. Mais le problème, aujourd’hui, n’est pas tant que nous n’avons pas envie de contraindre, mais que nous ne savons pas sur quoi contraindre ! Or, il est très difficile de transmettre ou d’imposer si l’on se demande soi-même quoi transmettre ou quoi imposer. Si c’est tellement important de bien travailler alors que certains réussissent sans diplôme, ou de bien se tenir à table, ou de refuser d’acheter un objet si bon marché... ce perpétuel questionnement dans notre société est à la fois une richesse et une grande difficulté. Vis-à-vis de nos enfants, on ne peut pas s’interroger en même temps qu’on éduque. L’adulte ne doit pas se mettre au même niveau hiérarchique que l’enfant. ELLE. C’est le doute qui serait responsable de ce que vous appelez "la crise de la transmission" ? Oui, parce qu’on ne sait plus quel modèle transmettre et qu’on a l’impression qu’imposer, c’est faire subir une violence. Or, un enfant pourra remettre en cause ce modèle ou le refuser plus tard. Mais ne rien lui transmettre de peur d’être arbitraire, c’est lui refuser la possibilité de prendre le relais ou de faire un choix. ELLE. Donc, il faut s’interdire de penser qu’on ne doit pas lui faire ce que l’on ne voudrait pas que l’on nous fasse ? Exactement. Pas question d’empathie on n’a pas le même âge ! Si on se met à la place de l’enfant, on ne peut pas faire tenir longtemps une interdiction. Nous sommes donc obligés de rester à notre place d’adulte où, d’ailleurs, nous ne vivons pas une vie sans contraintes. Mais c’est comme si on voulait que l’enfant répare ce que l’on a du mal à accepter pour soi. Etre sévère n’est plus à la mode. Et, d’ailleurs, le mot rime souvent avec réactionnaire. Aussi, les parents aimeraient que les enfants acceptent et intègrent eux-mêmes les règles éducatives pour les dispenser d’être autoritaires. Finalement, on leur demande d’être leur propre parent. Or, c’est invivable pour l’enfant il lui est beaucoup plus facile de nous en vouloir que de s’en vouloir ! ELLE. Faut-il donner le sens de l’effort ou le sens du plaisir ? Je ne crois pas que l’on puisse éviter le sens de l’effort. Mais peut-on faire passer le message du plaisir via l’effort dans une société où l’immédiateté de la satisfaction est omniprésente ? C’est toute la complexité de l’éducation aujourd’hui. Avec le risque pour l’enfant de devoir s’inventer sans repères.

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