🐻 La Sécurité Est L Affaire De Tous
Lesprincipaux facteurs sont le non-port de la ceinture de sécurité soit 81 %, vitesse excessive ou inadaptée + 68 % et puis présence
La sécurité est intégrée dans notre démarche RSE, labélisant les bonnes pratiques de l’entreprise », rappelle Thierry Lahuppe, dont la direction gère 4 500 types de matériels
EnEurope, de groupes industriels collaborent avec la Commission européenne à la promotion de normes de sécurité ouvertes et non propriétaires spécialement destinées aux Cloud publics et privés. Le Cloud Council de DigitalEurope, en lien avec les membres de l’industrie, cherche à faire du Cloud computing un moteur de croissance économique plus
Lasécurité au travail est l’affaire de tous. Publication: 01.06.2018 . Chaque accident sur le lieu de travail est un accident de trop, a fortiori s’il est possible de l’éviter par la prévention et par un comportement adéquat. C’est pourquoi Honegger investit depuis de nombreuses années dans la sécurité au travail. Elle concerne de la même façon les
Cemardi 18 mai était dédié à une journée de sécurité aux abords des écoles maternelles et primaires publiques ainsi qu’au collège François Mugnier.
Ilest toutefois rassurant de constater que la gestion de la santé et de la sécurité au travail n’est pas forcément un exercice complexe! Des progrès considérables résultent souvent de mesures simples. Dans bien des cas, il n’est même pas besoin d’avoir des compétences particulières pour déterminer les risques et les contrer. D
Et loin de l’adage – « la sécurité est l’affaire de tous » – l’on peut vous dire que que « la sécurité est, en réalité, l’affaire de SERI ! » SARI Sécurité a fait du gardiennage live vidéo à distance (GVLD) sa spécialité. Son PC de commandement est particulièrement impressionnant et efficace. SERI Sécurité. 8A
Lemajor Walter Lens, commandant de la brigade de Gendarmerie nationale de Saint-Genis des Fontaines, était aux manettes de cette séance, avec l’appui de Frédéric Régnier, responsable de la police municipale. Tous deux représentent autant de corps qui travaillent au quotidien en étroite collaboration pour assurer la sécurité de tous.
Lasécurité, c'est l'affaire de tous? `Absolument. On vient d'ailleurs de commencer avec la mise à trois bandes de l'autoroute de Wallonie, sur certains tronçons proches de Mons, Liège et Charleroi, beaucoup trop saturés. Nous allons aussi développer la protection des motocyclistes. Dans les virages, on a ainsi constaté qu'il y avait beaucoup
ER4gIg. Chaque année, le 7 juin, se tient la Journée mondiale de la sécurité alimentaire pour souligner l'importance de la sécurité alimentaire dans la réalisation du Programme 2030. ©Eleonora Grunge/ 06/06/2019Sans un accès universel à une alimentation saine, nous ne pourrons pas réaliser les objectifs du Programme 2030. On estime que 600 millions de personnes tombent malades chaque année en mangeant des aliments contaminés par des bactéries, des virus, des toxines ou des produits chimiques - et 420 000 d'entre elles en meurent. Lorsque la nourriture n'est pas saine, les enfants ne peuvent pas apprendre et les adultes ne peuvent pas travailler. En d'autres termes, le manque d'accès à des aliments sains entrave le développement humain. Pour souligner le rôle crucial de la sécurité sanitaire des aliments dans la promotion de la santé et l'élimination de la faim, la Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments est célébrée chaque année le 7 juin. Son but est d'attirer l'attention et d'inspirer des actions pour aider à prévenir, détecter et gérer les risques d'origine alimentaire, contribuant ainsi à la sécurité alimentaire, la santé humaine, la prospérité économique, l'agriculture, au tourisme, au développement durable et permettant l’accès aux marchés. Si vous produisez, transformez, vendez ou préparez des aliments, vous avez un rôle à jouer dans leur salubrité. Voici cinq façons de faire la différence en matière de sécurité sanitaire des aliments 1. S'assurer que la nourriture est saine Les gouvernements ont un rôle essentiel à jouer pour garantir que les aliments sont sûrs et nutritifs pour tous. Et ils ont de bonnes raisons de le faire selon la Banque mondiale, les aliments dangereux coûtent - à eux seuls - aux économies à revenu faible et moyen environ 95 milliards de dollars EU en perte de productivité annuelle. Pour aider à réduire ce chiffre, les décideurs peuvent promouvoir des systèmes agricoles et alimentaires durables, en encourageant la collaboration entre les secteurs de la santé publique, de la santé animale, de l'agriculture et autres. Les pays peuvent également se conformer aux normes internationales établies par la Commission du Codex Alimentarius. 2. Cultiver des aliments en toute sécurité Pour garantir un approvisionnement suffisant en denrées alimentaires sûres au niveau mondial tout en minimisant leur impact environnemental et en s'adaptant au changement climatique, les producteurs de denrées alimentaires doivent adopter de bonnes pratiques. Au fur et à mesure que les systèmes de production alimentaire se transforment et s'adaptent aux conditions changeantes, les agriculteurs doivent étudier soigneusement les meilleurs moyens de faire face aux risques potentiels et de s'assurer de la salubrité des aliments. Prendre en compte la santé des plantes et des animaux, par exemple, peut contribuer à combattre la résistance aux antimicrobiens et à réduire ce chiffre de 700 000 personnes qui meurent chaque année dans le monde d'infections résistantes aux antimicrobiens. La sécurité sanitaire des aliments doit être assurée à chaque étape de la chaîne de valeur - du producteur au consommateur, en passant par le vendeur. A gauche ©Edmund Lowe Photography/ A droite ©Dusan Petkovic/ 3. Préserver la salubrité des aliments Pour les exploitants d'entreprises, les contrôles préventifs peuvent résoudre la plupart des problèmes de sécurité alimentaire. Tous ceux qui participent aux opérations alimentaires - de la transformation à la vente au détail - doivent s'assurer du respect de programmes tels que le Système d’analyse des risques – points critiques pour leur maîtrise HACCP, qui identifie, évalue et maîtrise les risques importants pour la sécurité sanitaire des aliments. En plus de réduire les risques de maladie, les bonnes pratiques de transformation, de stockage et de conservation peuvent également permettre de réduire les pertes après récolte et aider à préserver la valeur nutritionnelle des aliments. Elles permettent aussi aux entreprises de maximiser leur participation à un commerce alimentaire mondial de 1,6 trillion de dollars EU. 4. Vérifier la salubrité des aliments Les consommateurs ont le pouvoir d'exiger des aliments sûrs et sains. Vu la complexité de la sécurité sanitaire des aliments, les consommateurs doivent avoir accès en temps opportun à des renseignements clairs et fiables sur les risques nutritionnels et les risques de maladie associés à leurs choix alimentaires. Investir dans l’éducation des consommateurs à la sécurité sanitaire des aliments peut permettre de réduire les maladies d'origine alimentaire et de réaliser des économies allant jusqu'à dix fois chaque dollar investi. Les consommateurs doivent avoir la capacité de faire, pour eux-mêmes, des choix alimentaires sains et pour la planète, de soutenir des systèmes alimentaires durables. 5. Soutenir ensemble la sécurité sanitaire des aliments En fin de compte, la sécurité sanitaire des aliments est une responsabilité partagée. Les gouvernements, les organismes économiques régionaux, les organisations des Nations Unies, les agences de développement, les organisations commerciales, les groupes de consommateurs et de producteurs, les institutions universitaires et de recherche et les entités du secteur privé doivent travailler ensemble sur ces questions qui nous concernent tous. La collaboration est nécessaire à l'échelle mondiale, régionale et locale - entre les secteurs au sein d'un gouvernement et au-delà des frontières - pour lutter contre les épidémies de maladies d'origine alimentaire dans le monde. La sécurité sanitaire des aliments est essentielle pour promouvoir la santé et éradiquer la faim. Elle pourrait sauver chaque année la vie de 420 000 personnes. ©WAYHOME studio/ La salubrité des aliments est essentielle, non seulement pour améliorer la santé et la sécurité alimentaire, mais aussi pour préserver les moyens d’existence, le développement économique, le commerce et la réputation internationale de chaque pays. Les maladies d'origine alimentaire entravent le développement socio-économique en mettant à rude épreuve les systèmes de santé et en nuisant aux économies nationales, au tourisme et au commerce. Un monde FaimZéro ne peut être atteint que si les aliments consommés sont sans danger. A l’occasion de cette Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments, soyons, comme chaque jour, reconnaissants pour la salubrité de nos aliments et prenons des mesures pour nous assurer que la sécurité alimentaire est bien l'affaire de tous. Pour en savoir plus Site web Les normes alimentaires internationales du Codex Alimentarius Site web La FAO et la sécurité sanitaire des aliments Site web Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments en anglais Récit L'avenir de l'alimentation FutureofFood dépend de l'avenir de la sécurité alimentaire Récit Si c’est nocif, ce n’est pas un aliment Récit Codex Alimentarius protéger la santé, faciliter le commerce
Les spécialistes de la cybercriminalité se réunissent cette semaine à Monaco avec pour ambition d'étendre à l'ensemble de la population les comportements et réflexes qui permettront de mieux résister à des pirates informatiques de plus en plus audacieux. Mis à jour le 3 oct. 2016 Se protéger, ça passe par des règles», explique à l'AFP le directeur général de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information Anssi, Guillaume Poupard. Il y a des règles de conception des systèmes, des règles d'administration de ces systèmes, des règles de gouvernance, des règles de comportement de la part des agents... Quand vous appliquez toutes ces règles et que vous le faites proprement, ça ne garantit pas une sécurité à 100%, mais il n'y a plus grand-chose qui passe», estime-t-il. Le propos peut paraître bien optimiste, alors qu'on apprend tous les jours ou presque que des cybercriminels arrivent à se promener dans des systèmes informatiques les plus divers, volent des fichiers, détournent de l'argent ou menacent de tout bloquer. Au sein des entreprises, il y a évidemment un responsable de la sécurité des systèmes d'information il est indispensable, mais pas suffisant. L'idée, c'est vraiment de se dire que chacun est acteur de cette cybersécurité le PDG, le directeur juridique, le directeur financier... Chacun a un rôle à jouer», souligne-t-il. Y compris l'intérimaire, généralement oublié dans les procédures, alors qu'il a souvent accès aux systèmes. Pas étonnant, dans ce contexte, que les Assises de la sécurité et des systèmes d'information soient de moins en moins une réunion de spécialistes. Quelque 2500 personnes y sont attendues de mercredi à vendredi, à Monaco. La menace reste des plus sérieuses, d'autant que le problème de la sécurité informatique a longtemps été négligé. L'État a identifié plus de 200 opérateurs d'importance vitale OIV, privés et publics, qui exploitent ou utilisent des installations jugées indispensables pour la survie de la Nation». La loi de préparation militaire les oblige désormais à suivre toute une série de règles très strictes pour faire face à la menace cyber, sous la surveillance de l'Anssi. Rendre les attaques publiques Et pour les autres? Rien d'obligatoire, pour l'instant, mais du bon sens. Il y a des chefs d'entreprises qui viennent me voir pour me demander ce qu'ils doivent faire, alors qu'ils ne sont pas des OIV», raconte Guillaume Poupard. Et bien, la même chose!» Les entreprises devront de toute façon réagir parce qu'une directive européenne va les obliger en 2018 à rendre public tout vol de données personnelles. Or, jusqu'à présent, la plupart d'entre elles préfèrent garder secrètes les attaques dont elles font l'objet. Pour des raisons d'image, et aussi, note pour mieux réagir face aux pirates. On va voir le vrai visage de la sécurité des sociétés françaises, et ça va faire peur», prédit Jérôme Robert, responsable du marketing chez Lexsi, une société spécialisée tout juste rachetée par Orange. Le plus souvent guidés par l'appât du gain, mais aussi par des motivations idéologiques, les cybercriminels s'introduisent au coeur du système des entreprises, généralement en passant par les ordinateurs de certains employés. Et pour approcher lesdits employés, on leur fait ouvrir des pièces jointes par courriel, on les envoie cliquer sur des pages web vérolées ou on leur met entre les mains une clef USB corrompue. Une fois dans la place, les pirates peuvent tranquillement piller les ressources de l'entreprise attaquée - pour la plus grande joie d'un concurrent, par exemple - voire prendre le contrôle de ses équipements. Quitte à représenter un véritable danger, puisqu'ils pourraient ainsi faire dérailler un train, prendre le contrôle d'une voiture autonome, polluer l'approvisionnement d'une ville en eau ou faire sauter une raffinerie. Sans en arriver à de telles extrémités, les cybercriminels font de plus en plus chanter leurs victimes en s'introduisant dans leurs ordinateurs pour les bloquer ou en crypter le contenu. Et là, ce ne sont pas seulement des entreprises, mais aussi des particuliers, qui sont victimes de ces ransomwares», et qui ne peuvent espérer récupérer leurs données qu'en payant une rançon.
Vous les avez vus surement sur les routes des vacances, ces panneaux jaunes à l’entrée des villages, avec cet œil au milieu qui vous fixe. Parfois noir, parfois bleu, Comme pour dire hé toi attention je te l’ai… à l’œil. La plupart du temps, désignés par le maire, citoyen volontaire, le voisin vigilant est censé rapporter à la police ou la gendarmerie, tous les faits qu’il peut trouver suspects. Les détracteurs parlent de délation, les promoteurs répondent pas du tout, nous créons du lien entre voisins. Alors que la sécurité promet d’être l’un des thèmes de la campagne présidentielle à venir, alors que le président Macron a appelé lui-même a une société vigilante. Voisins vigilants, la sécurité peut elle être l’affaire de tous ? Avec nous pour en parler Virginie Malochet, Sociologue à l’Institut Paris Région et chercheuse associée au CESDIP Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales ; Matthieu Valet, commissaire de police, porte-parole du Syndicat Indépendant des Commissaires de Police ; Thierry Chicha, Co-fondateur des Voisins Vigilants et Solidaires ; Juliette Méadel, Présidente du 1er groupe d'opposition à la mairie de Montrouge. Ancienne Secrétaire d’Etat chargée de l’Aide aux Victimes 2016-2017 Programmation musicale Relax, Rejjie Snow 2021 Les séquoias, Pomme 2021
la sécurité est l affaire de tous